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Orijinalini görmek için týklayýnýz : Un Instant Délicieux


admin
02 Þubat 2024, 00:06
C'était la fin de l'été en l'an 1990, qui aurait pu être doux si seulement l'Irak de Saddam Hussein n'avait pas eu la curieuse idée d'envahir et d'annexer le Koweït début août. Le Conseil de Sécurité de l'ONU avait exigé, sans être entendu, bien sûr, le retrait immédiat et inconditionnel des forces irakiennes. Ce même Conseil de Sécurité avait décrété un embargo économique et le 7, les États-Unis de Georges Bush avaient annoncé l'envoi de forces militaires.
Confortablement installé dans les profonds fauteuils en cuir fauve de ce palace parisien, et fort éloigné de toute cette agitation, le couple profitait de la douceur de l'été qui s'attardait, en sirotant le cocktail du jour. La vue sur Paris était de toute beauté. Néanmoins la jeune femme semblait un peu nerveuse. Elle croisait et décroisait constamment ses jolies jambes.
- Es-tu bien sûr que ce soit une bonne idée, Philippe, demanda-t-elle-elle en esquissant un petit sourire de ses lèvres peintes d'un délicat rouge carmin.
- Ça ne l'est peut-être pas, ma petite Bérengère, j'en suis bien conscient, mais tu sais aussi combien cela me fait plaisir.
Michel, le barman, observait d'un ?il désabusé cet habitué accompagné d'une jeune fille qui devait avoir guère plus de 18 ans. D'habitude, les dames qui accompagnaient cet homme étaient un peu plus âgées, voire franchement plus mûres. Lui avait la cinquantaine. Joliment bronzé, il irradiait d'un charme certain. Il portait avec élégance un costume Hugo Boss couleur anthracite. Il n'ôtait jamais sa cigarette de ses lèvres car il allumait systématiquement, avec une volupté évidente, la suivante avec le mégot de la précédente, d'une marque différente. Ancré dans ses habitudes, il semblait néanmoins apprécier la diversité.
La jeune femme avait, quant à elle, l'allure sage d'une étudiante des beaux quartiers. C'était une charmante brunette loin d'être laide. Son visage était encadré par de longs cheveux de jais qui ondulaient gracieusement sur ses épaules. On devinait, sous la petite robe noire, un corps superbe. Son ravissant minois était de surcroît éclairé par de grands yeux d'un lumineux bleu saphir. Une élégante ceinture de cuir délicatement ouvragé soulignait la finesse de sa taille. Elle lui fit un beau sourire.
- Ce n'est certainement pas raisonnable, mais il n'y a pas de mal à se faire du bien, reprit-il en lui rendant son sourire. Et ce n'est quand même pas parce que je suis ton oncle que je ne devrais pas avoir le droit de t'aimer. Il y a des précédents, il me semble. Tiens, Mazarin par exemple, avec sa nièce Marie Mancini, cette histoire d'amour édifiante n'a jamais choqué qui que ce soit.
- Je suis d'accord avec toi, dit-elle en tournant lentement la tête. Mais tout de même... si papa apprenait ça, il péterait un plomb, fatalement.
- Continue à être discrète comme tu l'as été jusqu'à présent, ma petite chérie, et tout ira bien, tu verras. Si tu ne lui dis rien, ce n'est pas moi qui irai raconter à ton père ce qui pousse dans mon jardin secret. Et qu'une fleur surtout s'y épanouit si merveilleusement.
- Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter pour cette belle voiture que tu m'as achetée?
- Pour la voiture il n'y a aucun problème, ma puce. Tu lui diras tout simplement la vérité.
- La vérité?
- Oui, tu lui diras que je te l'ai offerte pour tes 20 ans. J'avais dit à ton père que j'avais l'intention de te faire un beau cadeau à cette occasion. Je n'ai pas eu le bonheur d'avoir des enfants. Quoi de plus normal si je gâte ma nièce adorée? Et tout le monde sait bien que je t'adore, lui dit-il en la regardant droit dans les yeux tout en la gratifiant d'un charmant sourire.
- D'accord, mais tu ne lui as pas parlé du George V, répondit-elle en esquissant à son tour un petit sourire, mais espiègle cette fois.
Il la regarda avec un air amusé.
- C'est parce que je n'en ai pas vu la nécessité. Et aussi parce que ne suis pas sûr qu'il aurait apprécié. Ton père est un homme délicieux mais il n'est certainement pas accommodant à ce point. Et en plus cela n'a aucun rapport. J'ai la faiblesse de penser, vois-tu, que tu m'aurais accompagnée ici sans cela, et je ne crois pas me tromper.
Les joues de la jeune fille rosirent.
- Oh Philippe, c'est vrai que j'en avais envie depuis si longtemps. Tu as eu vraiment beaucoup de patience avec moi.
- Je t'ai attendue deux ans. C'est très long, bien sûr. Tu peux imaginer combien j'ai souffert. Mais un trésor ne doit-il pas toujours se mériter, sinon il n'y aurait plus de morale. Maintenant que tu es ici, près de moi, je ne regrette pas d'avoir été si patient.
- Leur cocktail est vraiment délicieux, dit-elle. Il y a du champagne et de la framboise là-dedans, et un autre alcool, du gin, peut-être.
- Il te ressemble, ma fleur, il est doux, pétillant et enivrant comme toi.
La jeune femme décroisa ses longues jambes.
- Tu exagères! Tu sais bien que je peux être une peste quand je veux.
Il lui fit un large sourire.
- J'en tremble de peur!
La escort gaziantep yabancý bayan (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/gaziantep-yabanci-escort) conversation se prolongea encore une quinzaine de minutes.
- Au fait, Philippe, je voulais te demander quelque chose. Où en es-tu avec ce projet de rachat sur lequel tu travaillais ces deniers temps?
- Tu veux parler de mon concurrent, je pense. Ça avance, lentement, mais sûrement. Dernièrement, j'ai fait réaliser un audit opérationnel et financier. Les résultats ne sont pas si mauvais. Mais comme je te l'ai déjà dit, la patronne est très attachée à son entreprise. Il faudrait qu'elle soit obligée de vendre pour prendre enfin la bonne décision, mais ce n'est hélas pas le cas.
- Combien ont-ils de salariés, dans cette entreprise?
- Un millier, dont une vingtaine de commerciaux.
- C'est vrai que ça commence à compter.
- Oui, et comme tu le sais, j'ai l'intention de tenter une entrée en bourse cette année.
- Alors, ce se serait un plus, évidemment.
- Tu as tout compris...
Il posa sa main sur la sienne et caressa discrètement ses doigts tout en finesse. Elle sentit un délicieux frisson remonter le long de sa moelle épinière.
- Veux-tu finir ton verre, ma puce, nous n'allons pas tarder à monter maintenant. Tu auras du travail demain. Il faudrait peut-être te coucher tôt.
- Oh pas trop tôt, j'espère, fit-elle en minaudant, tout en lui offrant son plus séduisant sourire. Parce que j'ai bien l'intention, moi, de profiter au maximum de cette charmante soirée.
Debout derrière son bar, Michel regarda le couple se diriger paisiblement vers l'ascenseur. Le liftier les accueillit avec un sourire complice. Arrivés au deuxième étage, Philippe se dirigea d'un pas léger vers la porte 24 et fit glisser le badge dans la rainure prévue à cet effet. Elle hésita un peu sur le seuil de la porte.
- C'est la même que la dernière fois? demanda Bérengère.
- Oui ma chérie. On ne change pas une équipe qui gagne, et c'est dans cette chambre que tu m'as offert le plus merveilleux des cadeaux. Ta virginité, ma chérie. C'est pourquoi j'y serai attaché jusqu'à mon denier souffle. Bérengère sourit et lui prit la main.
- Et tu ne m'as même pas demandé si je comptais la préserver pour un autre, dit-elle pour le taquiner un peu.
- Tu veux parler de Sébastien?
- Peut-être bien, oui.
- Je dois bien avouer que j'y ai pensé, mais comme tu n'as fait aucune difficulté, je n'ai pas voulu me montrer plus royaliste que le roi, avoue que cela aurait été ballot!
- C'est parce que tu savais que je te désirais depuis longtemps. Adolescente, déjà, je me caressais en pensant à toi. J'avais une photo de toi et, le soir, dans ma chambre de jeune fille, je rêvais en imaginant que tu saurais m'initier aux caresses les plus osées et les plus intimes. Je pensais à toi sans savoir que, toi aussi, tu me convoitais.
Philippe poussa la porte qui s'ouvrit sur une jolie chambre dans les tons vieux rose. La pièce, vaste, offrait une vue des plus agréable sur les jardins de l'hôtel. Elle était éclairée par un magnifique lustre en cristal. Un lit immense occupait tout le mur du fond. Il était surmonté d'une délicate reproduction d'un maître du 18°. Un grand bureau Louis-Philippe en noyer en occupait l'un des côtés, tandis qu'un autre était dédié à de vastes placards aux portes ornées de motifs dorés.
Philippe embrassa alors tendrement la jeune femme en lui caressant amoureusement les fesses. Maintenant qu'ils étaient à l'abri des regards, soigneusement cachés dans leur nid secret, il pouvait enfin se laisser aller à lui manifester toute l'étendue de son désir. Il la serra contre lui et caressa voluptueusement sa soyeuse chevelure. Il décrocha le téléphone, posé près d'un superbe bouquet de fleurs multicolores, et composa le numéro du room-service.
- Bonsoir, pouvez-vous nous monter une bouteille de votre meilleur champagne, s'il vous plaît?
Quelques instants plus tard le garçon d'étage apportait la bouteille accompagnée d'un joli panier de mignardises. Philippe lui laissa un généreux pourboire. Pendant ce temps, Bérengère s'était déchaussée et glissée comme une ombre dans la luxueuse salle de bains en marbre. Elle enleva sa robe, défit ses jarretelles et fit lentement glisser ses bas le long de ses jambes soigneusement épilées, avant d'ôter sa minuscule culotte de satin. Elle tourna le robinet en métal doré, remplit la baignoire, y versa le flacon de bain moussant, actionna le jet et se glissa avec volupté dans le liquide tiède qui dégageait une douce odeur vanillée. Elle souhaitait être bien propre et surtout, surtout, sentir très bon. Elle avait tellement transpiré aujourd'hui. Elle se trempa quelques minutes, ressortit et se sécha soigneusement. Elle se sentait mieux, maintenant qu'elle avait évacué la sueur accumulée au cours de cette chaude journée.
"Pourvu que Philippe soit en forme, ce soir, parce que j'ai vraiment une super envie" pensait-elle. Elle se sentait prête à se comporter genç escort gaziantep (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/genc-gaziantep-escort) comme une courtisane pour lui permettre de donner le meilleur de lui-même. Mais elle n'était pas spécialement inquiète. Son amant avait déjà eu l'occasion de lui prouver qu'il ne souffrait pas d'un déficit de vigueur. Elle regagna la chambre et s'étendit en travers du lit, les mains croisées derrière la tête. Ses cheveux étaient encore un peu humides. Elle regardait son oncle qui, après avoir pris une douche rapide lui aussi, débouchait la bouteille d'un geste sûr avant de lui tendre une coupe, frémissante du précieux breuvage. Elle se redressa pour la saisir entre ses mains. La couleur de ses ongles était assortie à celle de ses lèvres.
"Philippe est encore un si bel homme", pensait-elle, conquise. Certes, son petit copain Sébastien avait lui aussi bien des atouts. C'était un garçon intelligent, sportif, attentionné, mais surtout respectueux, un peu trop, à la limite de l'excès. Elle était surtout sensible au charme de son oncle. Il lui offrait bien plus que ce que ne pourrait jamais lui apporter un garçon de son âge. Elle était follement attirée par lui, et depuis si longtemps!
Elle l'aimait depuis qu'elle était toute petite. Ses manières distinguées la charmaient. Les longues conversations qu'ils avaient ensemble la troublaient, plus encore que son physique, même s'il était irréprochable. Pas une once de graisse, pensait-elle en le regardant. Et ses mains savaient être à la fois si douces et si viriles.
Surtout, une liaison n'empêchait pas l'autre. Philippe n'était absolument pas jaloux. Mieux, il s'intéressait à ses petits copains, dont elle lui parlait librement. Il se souciait de leurs parcours et de leurs performances estudiantines. Il savait que Sébastien préparait une licence de gestion à la Sorbonne, et que c'était un garçon brillant.
Et de quoi serait-il jaloux? C'était bien avec lui qu'elle se trouvait dans cette chambre ce soir. Que pourrait-il espérer de mieux? Philippe devait bien être conscient de la précarité de leur relation. Un jour, bien sûr, tout ceci devra cesser. Leur histoire avait commencé deux ans plus tôt, l'année de son bac exactement, quand Philippe avait embauché Bérengère, à la demande son père Claude, pour lui confier la rédaction du journal de l'entreprise pendant ses vacances.
Elle avait pris beaucoup de plaisir à ce travail qui lui avait permis d'interviewer des collaborateurs et des clients de la société de services informatiques que dirigeait son oncle près des Champs-Élysées. Philippe l'emmenait le temps d'un déjeuner dans un bon restaurant des environs, et parfois même ils allaient jusque chez Maxim's, dont il avait fait sa cantine. Il suivait avec beaucoup d'attention le travail de sa nièce. Un soir, elle discutait avec lui au sujet d'un article concernant un gros client.
Elle avait reçu les confidences du directeur commercial, qui s'interrogeait sur leur prochaine campagne publicitaire. Pour lui montrer les différentes maquettes, en les commentant, elle s'était assise sur l'accoudoir du fauteuil de son oncle. Tout en bavardant, la main de Philippe s'était aventurée sur la cuisse de la jeune fille, et il avait déposé un chaste baiser sur sa joue. Au cours des jours qui suivirent, elle prit conscience qu'elle s'organisait de façon à être le plus souvent possible seule avec lui.
Peu à peu, s'installa entre eux un étrange marivaudage, une sorte de flirt, chaste d'abord, puis qui devint de plus en plus trouble, surtout quand Philippe commença à l'emmener, le soir, après la fermeture des bureaux, au bar d'un palace, pour y prendre un verre. Bérengère savait qu'il avait coutume d'emmener ici ses conquêtes, comme le lui avaient confié les secrétaires lorsqu'elles bavardaient entre filles autour de la machine à café.
Un soir, Philippe raccompagna sa nièce en voiture. Il lui souhaita le bonsoir en déposant sur sa joue un baiser appuyé qui dérapa un peu pour venir effleurer le coin de ses lèvres. Le flirt qui ne disait pas son nom se prolongea deux ans au cours desquels Bérengère rencontra relativement peu son oncle, à l'exception des périodes de vacances pendant lesquelles elle reprenait son travail au journal.
C'était seulement cette année, alors qu'elle venait juste d'avoir ses 20 ans, que leur idylle s'était véritablement déclarée. Il avait su saisir la perche qu'elle lui tendait. Au soir d'une chaude journée de juillet, ils échangèrent leur premier baiser à l'occasion d'une sortie, qui se voulait chaste, au bar du palace. Elle s'en souvenait encore. C'était dans le jardin, sur un banc en pierre, sous le grand tilleul. Ce baiser l'avait bouleversée. Ainsi, il éprouvait bien de doux sentiments pour elle!
Bérengère trempa ses lèvres dans la coupe que lui tendait Philippe. Elle but lentement afin d'en apprécier toute la saveur, et jouir du picotement des bulles qui éclataient sur sa langue. Elle se tourna alors vers son oncle et lui tendit sa bouche humide, comme un fruit offert, un gaziantep gerçek resimli escort bayan (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/gercek-resimli-gaziantep-escort) encouragement à la déguster. Philippe sut apprécier cette offrande à sa juste valeur.
- Tu es magnifique, ma petite chérie. Il la dévorait des yeux en caressant ses cheveux noirs si soyeux qui dégageaient une douce fragrance. Bérengère frissonna. Elle fut rapidement envahie par la chair de poule lorsque les belles mains manucurées de son amant se mirent à virevolter autour d'elle afin de la débarrasser, avec des gestes précis, du peignoir qu'elle avait enfilé au sortir du bain. Elle s'offrit à son regard, seins nus, les tétons pointés avec arrogance vers lui, comme pour marquer son plein assentiment à ce qui n'allait pas manquer de suivre, et qu'elle appelait ardemment de ses v?ux.
Philippe s'empara délicatement des deux globes gonflés de désir et happa dans sa bouche les bourgeons dressés avec lesquels il joua, avant de se mettre à les téter goulûment. Etait-il bien conscient, alors qu'il se déshabillait, que c'était sa nièce qu'il s'apprêtait à prendre dans ses bras, ou bien n'était-ce pour lui qu'une conquête parmi des dizaines d'autres. Il ne se posait certes pas ce genre de question à cet instant précis. Il ne se lassait pas de la contempler et de la caresser.
Il embrassait chaque centimètre carré de sa peau, se délectait de toutes ses fragrances, tout en pensant avec fierté qu'il allait faire l'amour à la plus délicieuse jeune fille du monde! Il s'allongea sur elle et pressa son torse sur sa poitrine, pendant que sa langue gourmande explorait inlassablement la bouche suave de la jeune femme. Il changea ensuite de position afin que Bérengère puisse se tourner et s'allonger sur le ventre. Il pouvait aimer et caresser les fesses émouvantes qui s'offraient à lui.
La cambrure des reins de la jeune fille réagissait si bien à sa caresse qu'il en fut profondément ému. Merci, mon Dieu, merci pour ce cadeau! Mais pourquoi était-elle à lui? Il ne la méritait sûrement pas. Il encouragea enfin, par des gestes appropriés, la jeune femme à se positionner à quatre pattes au milieu du grand lit, afin de s'offrir à son regard libertin, et à ses mains passionnées. Cambrant sa sublime croupe, si exquisément rebondie, elle s'offrait, troublante d'innocence et de perversité mêlées.
Il pouvait la caresser et la savourer à loisir. Il déposa une série de baisers sur le bas de son dos en empoignant avec tendresse et fermeté les jeunes fesses qui s'offraient à lui sans pudeur. Il approcha ensuite sa bouche de la source miraculeuse, et lapa avec une joie intense les fluides exquis que la jeune fille lui distillait, comme une source vitale. Après lui avoir prodigué un délicieux chatouillis du clitoris, qu'il taquina longtemps de la pointe de sa langue, il continuait de caresser tendrement ce corps, vibrant et torturé, qui réclamait l'accouplement avec insistance. Tout son être était parcouru de frissons et se cabrait comme un cheval sauvage qui désirait être monté.
Il était, à ce moment-là, incapable de la faire attendre plus longtemps. Le sexe tendu presque à lui faire mal, il la pénétra, accomplit avec une intense volupté quelques allers-retours dans son merveilleux vagin, avant de se raviser. Plongeant le nez dans la raie des fesses, il lui offrit le bonheur de recevoir une savoureuse feuille de rose puis, saisissant son sexe dans sa main afin de le présenter, frétillant et rigide, à l'entrée de l'anus de sa nièce. D'une poussée magistrale, il la pénétra pour l'aimer pleinement, abondamment et passionnément. Il prenait un plaisir infini avec ce contact légèrement rugueux de sa muqueuse anale, qui lui électrisait le gland.
Bérengère, les parois de son sphincter écartelées et frictionnées par la queue si énergique de son oncle, gémissait sous ses énergiques coups de boutoir, tout en l'accompagnant avec la grâce et les miaulements d'une jeune chatte. Elle aimait cela, ce ventre musclé qui venait heurter en rythme ses fesses hospitalières. Elle se laissa sodomiser jusqu'à ce que, pantelante et vaincue, elle l'implore.
? Oui, mon amour, viens, maintenant. Je suis prête, viens, mon chéri, maintenant!
En appui sur son avant-bras gauche, elle avait glissé sa main droite sous sa chatte, et elle s'employait à stimuler son clitoris par d'impérieux mouvements circulaires. La jeune femme, secouée par de longs spasmes, reçu, au terme de cette délicieuse sarabande, la jouissance de son amant dans un long râle de bonheur qui jaillit de ses tripes, avant de s'achever par des gémissements divinement féminins. Bérengère, d'un mouvement coulé tout en souplesse, se retourna dans le lit pour embrasser le sexe de son oncle. Elle le cajola longtemps dans sa bouche, avant de se décider à lui parler à voix basse.
- Vous êtes un fieffé garnement, dit-elle d'une voix très douce au membre épuisé maintenant flaccide, vous avez quand même réussi à me dépuceler une deuxième fois.
Apaisés et repus, enlacés et immobiles en travers du lit, les amants s'assoupirent, seulement après que Philippe lui eut tendrement caressé la minette une dernière fois, et susurré à l'oreille de douces paroles dans lesquelles on pouvait percevoir quelques remerciements. Son désir assouvi, Bérengère s'endormit en pensant à ce que son père dirait de cette relation si, par malheur, il venait à en être informé. Mais pour l'instant, elle trouvait cette relation incestueuse bien trop agréable pour se poser inutilement des questions.