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Orijinalini görmek için týklayýnýz : Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03


admin
08 Þubat 2024, 13:10
JOUR 6 -- MARDI - A VOS ORDRES
Le mardi matin, j'étais épuisée. J'avais très peu dormi, tourmentée par ce qui venait de se passer et terriblement inquiète de ce qui allait arriver. Les ordres de Rémi le copain de mon beau-fils étaient dramatiquement clairs :
Madame, vous n'avez pas bien obéi!
Vous n'auriez pas dû vous sauver.
Je vous avais prévenue : gare si les filles désobéissent
Mardi, à 11h, nous avons une pause.
On vous attend au même endroit devant le bahut.
Vous devez venir vous présenter à nous.
Génuflexion et garde-à-vous devant vos maîtres.
Et comme punition : seulement deux boutons fermés au chemisier
Les hommes prirent leur petit déjeuner comme d'habitude et partirent à 8h15. Théo ne fit aucune allusion au rendez-vous de 11h. Etait-il au courant? Etait-ce une initiative de Rémi seul?
Le temps passa lentement jusqu'à 10h30 même si je noyais mes pensées dans le ménage. Et puis, il fallut bien que je me vêtisse. Ce fut vite fait : mes chaussettes blanches montantes, mes souliers noirs, ma jupe écossaise rouge et mon chemisier blanc. Je n'osai même pas me regarder dans un miroir.
A 10h55, je roulai doucement devant le lycée et pâlis lorsque je vis Rémi accompagné de trois autres garçons, trois garçons que je ne connaissais pas. Mon beau-fils n'était pas avec eux. Je me garai quelques mètres plus loin, déboutonnais mon chemisier. A 11h exactement, je sortis de la voiture. Ils étaient heureusement seuls dans la rue.
Je baissais la tête en avançant, n'osant pas les regarder. Ils cessèrent de parler lorsque, rouge écarlate, je fis un geste de génuflexion sans doute ridicule, puis me mis au garde-à-vous.
Mes seins, seulement tenus par deux boutons, offraient un décolleté des plus osés. Les globes de chair blanche s'étalaient dans tous les espaces disponibles. Ma jupe ultra courte, large, pas très propre ne demandait qu'à être relevée. Mes jambes nues semblaient plus longues que jamais en raison du choc de couleurs créé par les souliers noirs et les chaussettes blanches. Une pure honte.
- Les gars, dit Rémi, je vous présente ma soumise. Comme vous le voyez, elle est à ma botte. C'est une grosse pouffe. Elle adore se promener à poil. Je peux vous dire qu'elle n'a même pas de culotte. Fais voir à mes copains que t'as pas de culotte.
Je relevai ma jupe et ils jurèrent à la découverte de ma touffe noire. Dans mon milieu, on ne se rasait pas, on ne s'épilait pas, vielle France oblige. Un grand s'approcha, porta deux doigts dans mon décolleté et tira d'un mouvement sec. Les deux malheureux boutons sautèrent et ma poitrine s'étala devant eux en pleine rue. Puis je dus me tourner et montrer mes fesses. Plusieurs mains s'y portèrent jusqu'à ce qu'on ordonna :
- Stop, pas ici, allons dans le petit parc là derrière.
Ils m'emmenèrent en me tirant par ma jupe jusqu'à un petit carré vert quelque peu protégé des passants. Alors ce fut un déchainement de mains sur mon corps. Ma jupe fut roulée sur les hanches, ma chemise termina je ne sais où. Rapidement, je me trouvais penchée en avant pour sucer une bite, tandis qu'une autre me pénétrait la chatte, tandis que deux autres sexes occupaient mes mains. Ce viol me dégoutait profondément mais mon corps réagit quand même aux multiples caresses. Point toutefois jusqu'à l'orgasme. Les jeunes tellement excités ne mirent pas longtemps avant de lâcher leur semence et j'en eus autant dans la bouche, que dans le sexe, que dans les mains.
Ils m'abandonnèrent au milieu de la verdure, je dus chercher mon chemisier pour fuir en espérant ne pas avoir été vue.
Je passais un après-midi emplie de honte, de rage. Je m'étais fait piéger comme une gamine. Dès le début, j'aurais du refuser le chantage. Maintenant, c'était fichu. Les petits monstres avaient pléthore de photos pour poursuivre leurs mauvaises actions.
Théo rentra à 17h du lycée. J'osai l'interroger.
- Dis-moi, savais-tu que Rémi ton copain allait profiter de moi?
- Comment ça, que veux-tu dire, tu as vu Rémi, demanda-t-il?
- C'est-à-dire, il... il m'a fait venir au lycée tout à l'heure. Tu le savais?
- Ben non, j'savais pas. Quel enfoiré, il en a profité tout de suite. Mais, ma pauvre, que s'est-il passé? Raconte-moi.
Il semblait sincère et j'avais besoin d'en parler, d'évacuer la terrible pression que je subissais. Je tombai en pleurs sur le canapé et lui relatai mes déboires, sans entrer dans les détails bien sûr. Je finis par parler du viol, le visage en larmes caché dans mes mains. Sa question me ramena brusquement à la réalité :
- Alors 'çoise, ils t'ont enculée?
Stupéfaite, j'ôtai mes mains du visage pour ouvrir les yeux... sur la bite de Théo, droite, bandée, grosse, juste devant moi. Je n'eus pas le temps de parler que je me vis embouchée par l'excroissance du male. Il me tenait pas les cheveux et s'activait brutalement.
- Suce ma salope, suce à fond... Putain, t'es bonne... T'as eu ta dose aujourd'hui... N'aie pas peur, t'en aura encore nizip escort bayan (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/nizip-escort) demain... Alors ils t'ont... Enculée... Ahhhhhhhhhh
Je dus tout avaler.
JOUR 6 -- MARDI - Incidents de soirée -- Triste présage
Le soir, Théo me mit encore à l'épreuve. Alors que nous prenions le repas à trois avec son père, il commença son jeu vicieux.
- Tu sais 'pa, Françoise nous a fait un délicieux repas hier soir. Et cerise sur le gâteau, elle nous a très bien servis, Rémi et moi. Merci Françoise, c'était sympa de ta part.
- J'aime quand tu t'occupes bien de mon fils, ma chérie. Il le mérite avec tout le boulot qu'il a au lycée. Ton copain était content aussi?
- Ouais, très content. Il a adoré le repas et aussi le service. Tu sais 'Pa que Françoise a un joli tablier?
En présence de son père, il prenait le soin de prononcer mon prénom entier au lieu de ce « 'çoise » dédaigneux. Je le fixai comme s'il était un extra-terrestre. Pour ses 18 ans, il avait déjà un culot monstre. Son père mangeait, comme toujours le nez dans l'assiette avec un journal à côté. Les discussions étaient généralement réduites au minimum tant il était pris par ses lectures. Il ne répondit pas à son fils.
- Françoise, fais-moi plaisir, mets ton tablier comme hier. Tu étais vraiment trop mignonne. Je suis fier d'avoir une belle-mère comme toi, fier de te présenter à mes copains.
Je le fusillai du regard mais il s'en protégea d'un sourire narquois. J'allai donc à la cuisine mettre mon tablier. Dessous, je portais un chemisier et un pantalon. Quand je revins, mon mari daigna relever le nez pour un acquiescement rapide et replonger dans sa lecture. Mais mon beau-fils, toujours moqueur, agita de gauche à droite son index ponté vers le haut pour signifier un NON catégorique. J'entendis même ce claquement de langue que l'on envoie aux enfants qui vont faire une bêtise, ce tssii,tssii, tssii tellement traditionnel et vexant.
Je lui répondis d'un non de la tête et pris place à table. Nous mangeâmes le plat.
- Tu sais 'pa, j'ai appris un truc affreux hier... Dans la classe, y a une fille des banlieues, sympa, une belle gonzesse... On a appris qu'elle avait mal obéi à ses frères, j'sais pas vraiment à quoi, mais je sais qu'ils l'ont punie. Il paraît qu'ils sont sans pitié dans le quartier. Si une fille n'obtempère pas parfaitement, ils appliquent toujours une sanction.
Théo me regarda fixement en énonçant sa dernière phrase. Je compris qu'il s'adressait à moi qui venais de désobéir ; mes craintes furent suspendues à ses lèvres. Philippe leva son nez. Peut-être que la notion de punition lui faisait de l'effet.
- Ben continue Théo, tempêta son père!
- Oui... Il paraît qu'un mercredi matin... oui, c'est ça... un mercredi matin... Comme demain... elle a dû aller au square Beaufort, vous connaissez ce petit parking?
- Oui bien-sûr, dit Philippe, c'est un petit parking avec un terreplein au milieu, il y a beaucoup de clochards qui y passent la nuit.
- Justement, continua Théo, ils lui ont donné ordre d'aller réveiller les clodos en leur servant du café. Ils lui avaient préparé un thermos et des verres en plastic.
- Donner du café aux malheureux, voila une bonne action, s'exclama Philippe sans savoir que mon c?ur s'accélérait au fur et à mesure de l'énoncé de la sanction dont je ne doutai pas qu'elle me serait destinée et plus dure.
- Je n'ai pas dit DONNER du café mais SERVIR du café! Ce n'est pas pareil. En plus, à 8h du matin, juste avant les cours, elle devait avoir sa tenue d'élève. Tu sais 'pa que les filles ont des tenues réglementaires?
- Oui, oui, je m'en souviens, dit Philippe. Un peu osé pour des clochards en effet mais elle n'a pas raté ses cours comme ça.
- Ce n'est pas tout, hélas pour elle, poursuivit Théo en me regardant droit dans les yeux. Elle a du se mettre entièrement à poil pour servir les mecs, j'ai bien dit entièrement à poil, vous vous rendez compte!
Oh oui que je me rendais bien compte, bien compte de ce qui allait m'arriver! Ma culotte s'humidifia, non de plaisir mais d'urine de peur.
- N'a-t-elle pas pu obtenir le pardon de ses frères, demandai-je?
- Ma pauvre Françoise, tu rêves. Elle n'a eu que le droit de conserver ses chaussettes blanches et ses souliers noirs! Ils lui ont dit : d'abord tu obéis à notre ordre premier, ensuite tu accomplis ta punition.
- C'est vraiment dur, dit mon mari. Il faut de la sévérité, j'en conviens, mais ça c'est de la torture. Elle n'a pas essayé de résister?
- Oh que non, continua son fils, car faute d'obéir entièrement à l'ordre et à sa punition, ils l'ont menacée de... de devoir... eh... de devoir...
- Ben quoi, m'exclamai-je affolée?
- De devoir sucer tous les clodos, répondit-il en me bloquant le regard.
Je ressentis un courant électrique depuis mes chevilles jusqu'au ventre, un peu comme un vertige d'altitude. Un peu d'urine encore s'échappa dans ma culotte. Théo venait de m'annoncer escort nizip (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/nizip-escort) ma punition et même le risque supplémentaire en cas de désobéissance.
- Françoise, demanda le petit monstre, tu nous sers une glace, tu sais, une glace comme hier?
Livide, je filai à la cuisine, y ôtais mon pantalon, ma culotte, mon chemisier et mon soutien-gorge. Je ne conservai que mes mules et mon tablier. Avec deux coupes de glace préparées, je jetai un ?il dans la salle à manger. Théo attendait, une main sous la table ; Philippe avait repris la lecture de son journal. Je m'avançai.
Philippe occupait le petit côté de la table de salle à manger, Théo était à sa gauche. J'arrivai dans le dos du premier et déposai sa glace. Par chance, il ne vit rien, restant absorbé par sa lecture. Passant derrière lui, je posai la coupe de Théo. J'avais une terrible envie de fuir en cuisine, mais la perspective de futurs tourments me força à rester trois pas en retrait, à attendre qu'ils mangent.
Théo, voyant que je restai dans le dos de mon mari, me fit signe d'aller bien en face d'eux. Je me déplaçai alors autour de la table jusqu'à venir à la place que j'avais occupée devant les deux gamins. Seules les bouches faisaient du bruit. Théo me regardait en souriant. Il attendait patiemment que son père lève la tête. Ca ne tarda pas.
Je vis son regard venir sur moi, ses sourcils se froncer, une rougeur lui monter aux joues.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette tenue? Qu'est ce que tu fais comme ça? Pourquoi tu restes plantée là?
- Françoise, s'exclama Théo à son tour, tu te rends compte? Tu te mets nue sous ton tablier devant ton fils? Je suis ton fils quand même!
- Je... j'avais chaud... pardon. Je ne le ferai plus.
- File dans ta chambre! Je ne veux plus te voir. Et ne recommence plus, hurla mon mari.
Le c?ur battant d'une indicible honte, je partis à reculons.
Le soir, mon mari me baisa. Assez rapidement comme toujours mais peut-être plus vigoureusement.
JOUR 7 -- MERCREDI - Les clochards
Je servis les petits-déjeuners plus tôt que d'habitude car les hommes partaient de bonne heure. Mon beau-fils sifflotait comme si la vie était belle. J'essayai bien de lui parler discrètement pour quémander une indulgence mais je ne réussis pas. Si bien que lorsqu'il partit, j'étais dans une monstrueuse incertitude : est-ce que la punition détaillée hier au soir m'était vraiment destinée? Tantôt, je la considérais comme une véritable histoire de quartier, tantôt comme un ordre implicite.
Théo s'était révélé être un grand pervers et à son âge, on a peu conscience de la réalité. J'étais sûre qu'il avait rêvé, imaginé cette immonde situation et qu'il me l'imposait par pur sadisme. En plus, par hasard ce matin-là, il était parti tôt pour me laisser seule dans le tourment.
Finalement, par crainte de pire encore, je me décidai à aller servir les clochards.
Je n'avais pas beaucoup de temps : me vêtir, faire du café, arriver au parking pour 8 heures. Terriblement nerveuse, je me pressai entre mes vêtements, le thermos, les tasses, courus à la voiture, arrivai deux minutes avant l'échéance.
Sur environ dix places disponibles en arc de cercle, il n'y avait que deux vielles voitures garées. Il faut dire que personne ne laissait un véhicule de luxe la nuit dans cet endroit. Au-delà du parking, quelques buissons feuillus, puis quelques arbres, avec entre eux au milieu, deux bancs. Il n'y avait qu'un seul clochard enfermé dans une couverture sur le premier. Je me réjouis de ne voir qu'un malheureux.
Après un coup d'?il aux alentours, je laissai ma jupe et mon chemisier sur le siège. Il fallait que je me presse avant que la ville ne se réveille. Le froid du matin me saisit. Mes tétons prirent une dimension démesurée. Nue, à l'exception de mes chaussettes blanches et de mes souliers noirs, je courus jusqu'au banc et tirai la couverture du visage.
Il était tellement moche que je poussai un cri. Age entre cinquante et soixante, barbe pas rasée, peau rouge d'alcool. Il ouvrit les yeux, sourit : ses dents jaunes éparses apparurent comme dans un visage de film d'horreur.
- Tenez, monsieur, voici du café. Dépêchez-vous, je n'ai pas de temps.
Il peinait à se redresser, aussi l'aidai-je. Mal m'en prit car alors il se rendit compte de ma nudité.
- Mais t'es à poil toi! C'est le Secours Populaire qui fait ce cadeau. Putain, y a longtemps que j'ai pas vue une gonzesse à poil. T'as pas froid aux yeux! Eh les gars, venez voir.
A ma grande surprise, deux types arrivèrent aussitôt, sortis de nulle part, un grand maigre et un autre de taille moyenne. Ils devaient avoir dans les 25 ans, encore deux jeunes hommes égaré sur les chemins de l'alcool. Je leur fis face en avançant une tasse de café. Le premier la saisit en auscultant ma chatte très poilue, le second de même. Alors que je remplissais la seconde tasse, par derrière une main brutale vint se fourrer entre mes jambes. Le premier clodo du banc venait profiter nizip escort (http://www.gaziantepgazetesi.com/kategori/nizip-escort) de l'occasion. Je donnai la tasse, me retournai sèchement en chassant la main intrusive. Mais tout aussitôt, deux mains bloquèrent mes épaules dans mon dos, une autre arriva dans ma raie, puis un doigt dans mon anus. Je poussais un cri de douleur, j'essayai de me délivrer. Une sorte de combat s'enclencha dans lequel je me débattis contre six mains. Avec leurs maudits doigts, ils tirèrent mes poils, mes tétons, pénétrèrent ma chatte, élargirent mon anus. Ca dura quelques longues minutes au prix de grandes douleurs.
Je finis par me dépêtrer de ces pauvres types et courus à ma voiture m'y enfermer. Je fis rapidement marche-arrière pour quitter le parking et encore nue, je retournai chez moi. Une fois dans mon garage, je voulus me vêtir mais ma jupe et le chemisier avaient disparus. Je n'avais pas fermé la voiture à clé, quelqu'un avait volé mes vêtements. Théo?
Je passais la fin de matinée longtemps tremblante de l'agression des clochards. Je ne leur en voulais pas vraiment, pauvres types. En revanche, ma haine envers mon beau-fils ne faisait que croitre.
Alors que je mangeais seule à midi, mon estomac se contracta quand je pris conscience de ne plus avoir de jupe écossaise rouge. Je ne pourrai plus satisfaire aux obligations des voyous et donc, je m'exposais à de terribles punitions. En plus, comme un malheur ne vient jamais seul, il semblait impossible de trouver une autre jupe identique, le sex-shop n'en avait plus. Il me fallait négocier un changement de tenue avec Théo. Après coup, je me dis que j'étais vraiment sotte de croire que c'était possible!
Je lui envoyais un SMS.
S'il te plaît Théo, cesse ce jeu. C'est épouvantable pour moi. J'ai 43 ans, je suis trop âgée pour de telles tenues. En plus, ce matin, on m'a volé ma jupe écossaise rouge et on n'en trouve pas dans les magasins. J'ai obéi, laisse-moi tranquille maintenant. Si tu veux, je porterai une autre jupe courte.
Il me répondit, cinglant :
Je n'ai rien à foutre de tes hontes, belle-mère. Jamais tu ne remplaceras ma mère. Tu n'as pour toi que d'avoir un beau cul, alors crois-moi, tu vas le montrer.
Je veux que tu te présentes à moi, en tenue, lundi prochain, à 12h exactement.
A chaque jour de retard, tu perds 5 cm à ta jupe et une taille à ton chemisier.
Etais-je bête de penser qu'il serait indulgent. Je pris un annuaire et téléphonai à tous les commerces de vêtements du coin. Aucun n'avait ce type de jupe. Je fis des recherches sur internet, j'en trouvai mais les délais de livraison n'étaient pas garantis et à cinq jours au plus tôt. Je voulus appeler le sex-shop où j'avais trouvé la première jupe mais son numéro ne figurait pas dans l'annuaire. Je me résolus donc à retourner sur place.
En ce milieu d'après-midi, il n'y avait personne dans le magasin. Le vendeur sembla me reconnaître. Il ne devait voir beaucoup de femmes en chair et en os dans son antre.
- Bonjour. Je suis venue il y a quelques jours chercher une jupe écossaise rouge. Je voudrais en acheter une autre.
- Ben, je vous ai dit que j'en avais qu'une seule! Vous ne vous souvenez pas?
- Si bien sûr, répondis-je, mais peut-être avez-vous des collègues qui en ont ou bien vos fournisseurs? Vous pouvez les contacter?
- Ouais, je peux essayer, faites un tour dans le magasin pendant ce temps là.
Je passai quelques minutes à regarder le déballage d'objets sexuels de toutes sortes, de revues de toutes sortes.
- Ecoutez, dit-il, je peux en avoir une auprès d'un fournisseur. Je viens de l'appeler, il en a de disponibles. C'est 120 euros. Je vous montre sur son catalogue.
- Inutile, d'accord, ça me convient. Mais vous la recevrez quand?
- Normalement, mardi fin de matinée.
- Pas avant, m'exclamai-je, mais c'est trop long pour moi. Vous ne pouvez rien faire?
Je devais me présenter le lendemain, le lundi à 12h!
- Pas le choix, ma petite dame, mardi ou jamais.
Le repas du soir se déroula normalement. J'avais les plus grandes craintes que Théo ne m'obligeât encore au tablier mais il n'en fit rien. Je passais une nuit réparatrice, un peu moins tourmentée que ces derniers jours.
JOUR 8 -- JEUDI - Complètement nue
Ce jeudi matin, comme chaque jour, je me levai la première à 6h45, préparai le petit-déjeuner pour le pour le servir aux hommes à 7h15. Par réflexe, je consultai mes messages et je reçu alors le premier choc de la journée dans un message de Théo :
Tu prépares et sers le petit-déjeuner avec tes escarpins noirs et une serviette de bain.
Une phrase, une seule phrase assassine et j'étais à nouveau plongée dans l'enfer de la honte et de la crainte. Comment pourrai-je expliquer ma tenue à Philippe? Je n'hésitai pourtant pas sachant les risques de la désobéissance. Je laissai ma chemise de nuit à la salle de bain, me mouillai mes cheveux pour faire vraiment « sortie de bain », me couvrit d'une grande serviette. Ma tenue était plausible mais elle le devint nettement moins lorsque je chaussai mes escarpins. Ils étaient noirs, élégants, élancés voire pointus, hauts de 12cm. Théo avait un don pour la perfidie car les souliers suffisaient pour tuer l'aspect normal de ma tenue.
Je l'entendis descendre le premier. Je suppose qu'il voulait vérifier ma soumission.