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Orijinalini görmek için týklayýnýz : Initiation et chantage 1/3


admin
10 Haziran 2022, 17:20
Initiation et chantage 1/3L'été de mes 16 ans, nos voisins de quartier demandèrent à ma mère si je pouvais, contre un peu d'argent de poche, assurer le gardiennage de leur villa pendant leur vacances aux Etats-Unis. Je n'aurais pas besoin de rester toute la journée, juste occuper les lieux du soir jusqu'au lendemain matin. Madame B., la meilleure amie de la voisine, assurerait le ménage quotidien. Malgré l'appréhension de me retrouver seul dans une maison, je me réjouissais à l'idée de pouvoir mater tout ce que je voulais à la télé jusque tard dans la nuit, notamment le film en 2ème partie de soirée.Le premier soir, je zappais sur toutes les chaines, avide de tout voir. Cependant, à cette époque, la TNT et sa vingtaine de chaînes n'existait pas et je fus vite frustré. La maison possédait une superbe salle de bain et les maigres moyens de ma famille ne nous permettaient pas de disposer d'une baignoire, surtout comme celle-ci : toute vitrée, assez grande pour s'allonger entièrement et un jet de douche à multiples positions. Je décidais donc d'en profiter. Une fois immergé, un bien être intense m'envahit et je me mis à me caresser. L'eau chaude rendait ma peau si douce, j'en eu vite une érection que je calmai tout aussi rapidement en jouissant des suites d'une bonne masturbation. Ensuite, je regagnais la chambre d'amis où le lit une place m'attendait. Repus de m'être vidé de la sorte, je m'endormis sans tarder.Le lendemain, je fus réveillé par le bruit de l'aspirateur dans la chambre voisine. Je grommelais contre Madame B. qui ne m'avait pas laissé profiter de la grasse mat' que j'avais compté m'octroyer. D'un pas lourd et décidé, je traversais le couloir simplement vêtu de mon pantalon de pyjama pour lui dire ma façon de penser. La porte était entrouverte. À deux pas du seuil, une vision m'arrêta net : Madame B. se contorsionnait pour passer güvenilir bahis siteleri (http://www.hemeteam.com/) le manche de l'aspirateur sous le lit, offrant à ma vue sa superbe croupe, moulée dans une petite jupe grise. Je pouvais apercevoir les coutures de son string, tellement le tissu de la jupe était tendu. Je ne sais combien de temps je restais ainsi interloqué, mais une grosse bosse se forma sous mon pantalon. J'entrais alors d'un coup et faisant claquer la porte contre le mur. Malgré le bruit de ce fichu aspirateur, la ménagère sursauta et éteignit l'engin :"Ah, c'est toi ! Tu m'as fait peur. Qu'est-ce qu'il y a ? Ca ne va pas ? Tu n'as pas l'air très bien.Sous l'émotion, je ne pus que balbutier une suite de mots incompréhensibles.- Remets-toi mon garçon ! Je t'ai réveillé, c'est ça ? Tu n'es pas du matin, toi, ça se voit !Je m'entendis prononcer cette phrase complétement décalée :- Vous êtes très belle, madame B.Surprise, mais flattée, elle répondit :- Merci, c'est gentil. Cela faisait bien longtemps qu'on ne m'avait pas fait un compliment de la sorte."Elle entreprit de reprendre ses tâches ménagères en se penchant à nouveau sous le lit pour récupérer le manche de l'aspirateur. En voyant à nouveau cette croupe offerte devant moi, je ne pus me retenir. Je vins la cramponner avec vigueur en faisant claquer mes mains dessus. La réponse ne se fit pas attendre. Elle se retourna et me décocha la plus belle gifle de ma vie. Instantanément, je me mis à genoux pour implorer son pardon en sanglotant :"Je suis... désolé... vous êtes tellement... désirable... j'ai pas pu... m'en empêcher..."Je serrais si fort ses cuisses que je sentais la chaleur de son intimité contre ma joue. Cela ne faisait que durcir mon membre déjà bien raide. Cette situation embarrassante avait fait rougir son visage, à moins que ce ne soit l'étreinte virile d'un homme jeune [/URL] à ses pieds. Elle n'était pas à proprement parler un canon, mais ses cheveux roux bouclés ne dépassant pas son col de chemise blanc, ses yeux verts et sa peau blanche lui conféraient un certain charme."Tu me trouves si jolie que ça ?- En fait... j'ai très envie de vous !- Allons, tu n'es pas sérieux. Je pourrais être ta mère.- Justement, vous êtes une vraie femme, c'est pas comme les filles de ma classe ! Elles n'ont même pas encore de seins. Tandis que vous...Il est vrai que sa poitrine devait atteindre un vénérable 90C et son chemisier un peu serré en témoignait. Voyant que je lorgnais sur son décolleté, elle me déclara :- Écoutes, si tu dis vrai, je te montres mes seins. Mais ça n'ira pas plus loin. D'accord ?Ayant opiné de la tête, je me relevais et reculais de quelques pas pour lui montrer ce qui déformait mon bas de pyjama. Je n'ai jamais eu une grande bite mais sa grosseur en a contenté plus d'une. A sa vue, elle défit un à un tous les boutons de sa chemise. Elle portait un soutien-gorge blanc en dentelle dont la transparence cachait à peine le pourpre de ses aréoles. Devant ce spectacle, je me mis à me caresser. Elle fit glisser une bretelle puis l'autre doucement. Elle dégrafa ensuite son soutif en le retenant par devant, son bras collé sur ses mamelles. Puis, d'un geste vif, elle jeta le bout de tissu au travers la pièce. J'étais abasourdi. Tout en continuant de me branler, je m'avançais vers elle. J'avais remarqué l'accélération de son souffle qui soulevait son opulente poitrine. Elle murmura un faible "Non, ne t'approche pas...". Ses tétons pointaient en l'air, trahissant son excitation. Je pris alors un sein dans chaque main et les pétrit en les embrassant goulument. Elle poussa un long soupir. D'une main, je relevai sa jupe, dévoilant son string assorti au soutien-gorge. [URL="http://www.hemeteam.com/"]bahis firmalarý (http://www.hemeteam.com/) J'ouvris la fermeture éclair de sa jupe pour la faire tomber à terre puis renversait cette épouse et mère si honorable sur le lit de sa meilleure amie. Elle leva les jambes pour me permettre de retirer sa culotte déjà trempée. Elle échappa un "Lèche-moi bébé". Puis en prenant ma tête, elle me dirigea vers son entrejambes. Elle n'était pas rasée et sentait fort la mouille. Ce qui m'excitait énormément. Guidée par ses mains expertes, je la fis jouir au bout de quelques minutes :"Oh oui... c'est bon bébé ! Vas-y ! Plus fort ! Ooohhh, j'ai la chatte en feu ! Oh oui, fais moi jouir avec ta langue, joue avec mon clito ! hmmm, oui c'est ça, plus vite, je viens... aaaahhh je jouiiiiiiiiss !!!"J'eus à peine le temps de me relever qu'elle m'attira à elle :"Baise-moi maintenant ! Ça fait trop longtemps que mon mari ne me touche plus ! Vas-y, prends-moi ! Je suis à toi !J'étais en plein rêve. Elle me suça un peu pour faciliter la pénétration bien que comme elle avait beaucoup mouillé, je n'eus aucun mal à rentrer dans son minou de femme mure. J'étais tellement excité que je n'allais pas tarder à tout cracher. Elle s'en rendit compte et m'encouragea :"Vas-y, remplis-moi de foutre ! Tu m'as bien fait jouir, alors à ton tour. Lache-toi, mon chéri !Je ne me fis pas prier et balançai tout dans un râle de plaisir... En rattachant son soutien gorge, elle fut prise de remords :"Ne m'en veux pas, mais je crois qu'on a fait une bêtise. Oublie ça, chéri et n'en parle à personne surtout !C'était sans compter sur les effets de mon dépucelage qui me fit dire d'une voix assurée :- C'est vrai que ton mari serait furieux si je lui montrais cette culotte trempée de ta mouille...Je tenais le string sur le bout de mon index par une ficelle. Elle voulut s'en saisir mais je fus plus rapide qu'elle. J'avais fermé le poing sur cette pièce à conviction dont je comptais bien me servir ultérieurement et lui annonçai :- C'est moi qui donne les règles maintenant. Je garderais cette culotte tant que je le déciderais...