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Orijinalini görmek için týklayýnýz : LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 20 évasion suite


admin
14 Temmuz 2022, 16:16
LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 20 évasion suiteLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 20 évasion suiteCe qui arriva à Vincent ?Les trois filles après leur séance étaient allées voir Vincent à la cave. Celui ci bien réveillé maintenant, reconnut celles qui l'avaient capturé et se répandit en insultes*: «*garces salopes, pétasses ?*» «*Eh bien, mon garçon, il semble que tu aggraves ton cas*» dit Marion qui venait les rejoindre. «*A ta place je serai poli avec ces Dames qui ont bien voulu te ramener*!*» Vincent continuait à invectiver les 4 filles. «*Tais-toi, tu me fatigues*» dit Marion en saisissant un bâillon gonflable. Vincent secouait la tête comme un forcené maintenant sa bouche fermée. Marion lui pinça le nez pour lui immobiliser la tête puis força le bâillon dans sa bouche sitôt qu'il l'ouvrit pour respirer une fois solidement fixé, elle le gonfla au maximum. Il ne sortait plus que des grognements incompréhensibles de la bouche de Vincent qui roulait des yeux furieux. «*A vous les filles ...*» invita Marion. Chacune à son tour, elles lui crachèrent au visage en disant «*tiens ça c'est de la part de la salope*». Catherine sortit son taser chargé au maximum et l'appliqua sur une couille de Vincent. Le hurlement qu'il poussa réussit à traverser un peu le bâillon Les yeux de Vincent s'agrandirent d'horreur quand Catherine passa le taser à Marie qui l'appliqua à l'autre couille avec le même effet. La troisième fille regarda un moment Vincent le taser en main et le lui appliqua sur le gland. Le hurlement bien plus audible et les larmes qui coulèrent immédiatement des yeux du supplicié témoignèrent de la douleur causée*! Après avoir craché une nouvelle fois sur Vincent les trois filles sortirent suivies de Marion.Le soir Marion et Claire revinrent voir Vincent. Claire lui expliqua la situation «*Tu vois en t'échappant tu me pose un problème et j'ai plusieurs solutions*: 1 Je te garde ici et je fais en sorte que tu n'aies plus jamais l'occasion de t'échapper,2 Je te laisse partir et on t'emmène à l'autre bout du pays mais avant tu signes une déclaration comme quoi tu reconnais t'être introduit dans la maison pour me voler et avoir essayé de me violer, mais que mes amies t'en ont empêché. Je ne sais pas encore ce que je vais décider ? Qu'en penses-tu, Esclave*?*»Vincent avait écouté en secouant vigoureusement la tête et en grommelant dans son bâillon. «On ne comprends pas bien ce que tu dis,*je vais t'enlever ça, au moins on comprendra ce que bahis siteleri (http://www.nebme.com/) tu grommelle, connard ...*» fit semblant de remarquer Marion. Elle défit la courroie du bâillon et le retira brusquement sans prendre la peine de le dégonfler. «*Alors, ta réponse Esclave*?*» dit Claire.«*Allez vous faire foutre, bande de salopes*! De toute façon je sais que vous allez me faire disparaître*» éructa Vincent. Claire et Marion éclatèrent de rire. «*Mais c'est qu'il n'est pas poli avec ça*!*» dit Claire. «*Non en effet, je vais faire ce qu'il faut pour arranger ça. Ouvre la bouche toi, connard*» répondit Marion en rapprochant le bâillon de la bouche de Vincent. Bien entendu, il s'obstina à la garder fermer comme l'avaient prévu les deux femmes.Claire avait emprunté le Taser. Elle l'approcha du gland de Vincent «*Tu te rappelles l'effet que produit ce petit joujou*?*» Vincent roulait des yeux exorbités, secouait la tête en tous sens mais refusait toujours d'ouvrir la bouche. Claire attendit un moment puis appliqua le Taser et Vincent ne put retenir un hurlement. Marion en profita pour lui enfoncer le bâillon - qu'elle avait généreusement enduit de piment fort - dans la bouche, le boucler et le regonfler au maximum.«*On va te laisser tout le temps de réfléchir et devenir plus poli» dit Claire. «*Mais juste avant je vais te laisser un petit cadeau pour que tu penses bien à nous*» ajouta Marion. Elle était allée dans un magasin de bricolage faire quelques achats.Elle avait pris un jeu de pinces étau en plastique de différentes tailles et avait muni les mâchoires de petites pointes. Elle en posa une des petites sur chaque téton de Vincent après l'avoir bien étiré et une plus grosse sur chaque couille. Chaque pince était munie d'une cordelette et Marion y suspendit des poids. Les pointes rentrant dans la chair on vit apparaître quelques gouttes de sang. Marion s'amusa un moment à faire balancer les poids.Vincent grognait dans son bâillon sous l'effet de la douleur. «*Et pour finir ça*» dit Marion. Elle avait une grosse tapette à rats, elle arma le système à ressort, décalotta le gland et le posa sur la partie mobile. Un léger appui et le mécanisme fonctionna claquant sur le gland. Vincent hurla dans le bâillon, des larmes lui vinrent aux yeux. Il regardait effaré celle qui venait de lui massacrer le gland ?Marion et Claire revenaient toutes les heures. Au premier retour, Marion avec l'aide de Claire qui immobilisait la tête avait remplacé le bâillon canlý bahis siteleri (http://www.nebme.com/) gonflable par un écarteur buccal et placé une simple pince sur la langue de Vincent. Il suffisait d'enlever la pince pour qu'on comprenne ce qu'il disait. A chaque fois Claire reposait sa question, Vincent secouait la tête et ne répondait pas.A chaque fois aussi Marion libérait les pinces sur les tétons et les couilles le temps que le sang revienne puis les remettait en place et elle recommençait son petit jeu avec la tapette à rat. Les couilles et les tétons commençaient à être bien marqués d'une multitude de petites traces des dents des pinces avec des perles de sang. Quant au gland il devenait de plus en plus violacé. A chaque fois Vincent poussait un cri déchirant. Pour qu'il voie bien son état une glace avait été placée en face de lui.Marion et Claire finirent par aller se coucher laissant Vincent sangloter sans interruption. Le lendemain matin, Claire demanda à nouveau si Vincent était prêt à parler. Sur un signe affirmatif de ce dernier, Marion le libéra de toutes les pinces et de la tapette. Le gland était gonflé et violacé, du sang perlait un peu partout sur les couilles et les tétons. La langue était gonflée elle aussi. La bouche était en feu. Vincent articula péniblement «*Un peu d'eau par pitié...*» «*Je vois que tu es devenu plus poli*» nota Marion en lui versant de l'eau dans la bouche par petites quantités. A la première gorgée, Vincent qui s'attendait à de l'urine ou autre liquide imbuvable en fut tellement surpris qu'il en ouvrit des yeux ronds. Cela n'échappa pas à Marion «*Et oui juste de l'eau, notre nectar n'est pas assez bon pour toi, connard*»«*Alors ta réponse*?» demanda Claire. «*Laissez moi partir, je vous en supplie, je vous promets que je ne dirai rien à personne et que vous n'entendrez plus parler de moi...*» «*Tu n'oublies rien, connard*?*Et la politesse alors ...» demanda Marion en faisant claquer la tapette à rat. Vincent se reprit «Je regrette de vous avoir insultées vous et vos amies, Madame, pardonnez-moi et laisser moi partir, Madame» Vincent espérait s'en tirer sans trop de dégâts et avait décidé de jouer profil bas. «*C'est mieux mais ne compte pas t'en tirer comme ça. Je vais réfléchir à ce qu'on va faire de toi ...*» répondit Claire.Marion avait approché la tapette du gland meurtri et la faisait claquer tout près dans le vide. Vincent se disait que sa pauvre bite ne supporterai pas une fois de plus le canlý bahis (http://www.nebme.com/) choc «*Nooon*! Maîtresse Marion, pas ça je vous en supplie, Maîtresse*!*»glapit-il les yeux exorbités. Marion reposa la tapette*«Tu as de la chance, esclave, je suis de bonne humeur ce matin...*» Toutefois, avant de partir elle attacha l'écarteur buccal au mur par deux chaînettes ce qui obligeaient Vincent à tenir la tête en arrière et replaça la pince reliée par la cordelette à un piton du plafond sur la langue l'étirant ainsi vers le haut. Elle susurra à l'oreille de Vincent «Ça c'est pour m'avoir traité de salope, je n'oublie pas»*Claire Marion et Josyanne, qui était revenue, n'ayant que peu confiance en la parole de Vincent se donnèrent le temps de réfléchir à la suite et de le laisser mijoter encore quelques temps. Les trois filles qui l'avaient rattrapé étaient revenues au domaine. Vincent dût leur présenter ses excuses les plus plates pour ses propos insultants. Catherine avait sorti son taser, l'avait montré à Vincent et jouait négligemment avec tout près de son gland. Vincent terrorisé tentait d'être le plus convaincant possible allant même jusqu'à les remercier*! Finalement les trois filles acceptèrent les excuses non sans avoir craché sur son visage et dans la bouche ouverte.Le soir, Marion était venue voir l'état de leur prisonnier. Le gland avait un peu dégonflé, les multiples morsures des pinces ne saignaient plus. Seule la langue était encore gonflée. Vincent hasarda «*Maîtresse, pouvez vous me donner un peu d'eau s'il vous plaît*? j'ai tellement soif*!*» «*Ah c'est dommage, je n'ai pas apporté d'eau avec moi, demain matin on verra... A moins que ? tu ne préfères un autre liquide*?» proposa-t-elle perfidement. Vincent comprit tout de suite à quoi elle faisait allusion. Son besoin de boire l'emporta sur sa répulsion et sa haine. «*Maîtresse voudriez vous m'accorder un peu de votre nectar*?» «*Mais avec plaisir, je vois que que tu apprécies*» persifla Marion un éclair de contentement dans les yeux. Elle avait prévu d'apporter un verre qu'elle remplit de son urine mousseuse et odorante. «Voilà, tout juste sortie de ma source.*»*Elle ôta la pince, versa lentement le liquide dans la bouche grande ouverte. Vincent malgré son dégoût avalait au fur et à mesure. Il se fendit même d'un «*Merci Maîtresse Marion*» lorsque le verre fut vide.Elle raconta la scène à Claire et Josyanne. «*Sa politesse et sa soumission ne me disent rien qui vaille*» remarqua Josyanne approuvée par les deux autres. Finalement après discussion il apparut que garder Vincent au domaine serait source de tracas puisqu'il faudrait le surveiller et le recadrer en permanence. A suivre Le cheptel chapitre 21 Ulrike