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Orijinalini görmek için týklayýnýz : Christina - 5 (Dubaï nous voilà !)


admin
14 Temmuz 2022, 16:22
Christina - 5 (Dubaï nous voilà !)Ma rencontre avec Christina m?aura réservé de nombreuses surprises. D?abord notre rencontre, sur une plage du Languedoc, une belle grande jeune femme - trop timide (au début) pour s?afficher seins nus sous le soleil de ce merveilleux mois d'août.Ensuite, notre formidable relation humaine et érotique (mais ça, cher lecteur, tu l?as découvert lors des épisodes précédents).Enfin, cette formidable possibilité d?avoir pu rencontrer de nouvelles personnes, parfois intimement (pour mon plus grand plaisir), et toujours pour le meilleur !Ces pensées occupaient mon esprit alors que mon avion entamait sa descente sur l?aéroport de Dubaï. Par le hublot, le palmier dessiné par les hommes sur la mer, comme émergé du rivage ; je suis seul, Christina me rejoint dans quelques jours. Depuis quelques mois, notre relation de couple est devenue de plus en plus libre. Nous ne nous sommes jamais caché nos attirances pour d?autres personnes, et nous ne faisons plus mystère de notre polyamour. L?avion touche le sol, et alors qu?il roule sur le tarmac, je sors du mode Avion de mon téléphone. De multiples notifications encombrent l?écran d'accueil. Je passe la douane et reçoit deux messages sur mon smartphone. L?un est de Hadi :J?espère que votre vol s?est bien déroulé. On se retrouve en fin de journée pour un meeting téléphonique avec les organisateurs sur les points techniques - Reposez-vous d?ici là !L?autre est de Lucie : Welcome in Dubaï ! :) Très heureuse de te retrouver et de rencontrer Christina? On se retrouve ce soir ? ;)Ce dernier message me fait sourire, et apporte déjà son lot d?excitation pour la journée. L?idée de passer quelques heures avec la sublime petite hôtesse de l?air me rend joyeux. Mais avant, place au boulot.J?avais pris cet avion à Paris, invité par le comité d?organisation pour un festival de cinéma dans l?émirat au sud du golfe persique. Elena avait délégué sa s?ur Christina pour les aspects de communication et de production, et j?étais le directeur technique sur place. Nous avions aucun doute sur les capacités de nos hôtes pour l?organisation d?un tel événement, tant l?argent coule à flot à Dubaï. C?était aussi l?occasion de revoir la sublime Lucie, mais aussi Hadi, son businessman de mari. L?idée d?organiser un festival culturel européen venait de lui - et nous devions rencontrer sur place ses partenaires du projet. Lucie serait là elle aussi, entre deux escales de long courriers, et elle nous avait promis de nous faire découvrir son nouveau pays d?adoption.La douane passée, mes bagages récupérés, je retrouve un chauffeur de l?organisation qui doit m?emmener vers les locaux d?un prestataire technique. Les préparatifs bahis þirketleri (http://www.nebme.com/) techniques me prennent la journée : vérification du matériel arrivé par avion la semaine précédente, validation des choix techniques par les équipes locales? Le jet-lag me ratt**** en début de soirée, mais l?essentiel est fait. Demain est un autre jour, et nous ferons quelques essais demain. Je salue mes hôtes, et appelle un chauffeur pour mon hôtel. Lors du transfert, nouveau message de Lucie avec une photo cette fois : Attending Dubaï - 35000 ft. :)(La photo ne laisse aucun doute sur les intentions de l'hôtesse de l?air : en arrière plan : la cabine d?un avion de ligne - et le petit décolleté de Lucie, mis en valeur par son soutien gorge Push-Up, et surtout exhibé sur le selfie, la moitié des boutons de son chemisier sont ouverts)Je loge dans un 5 étoiles à proximité de l?aéroport, très grand luxe pour les businessmen de passage et pour les équipages de long courriers : les attachés case côtoient les képis de commandants de bords et les vestes ajustées des hôtesses de l?air. Chambre standard de palace, à la décoration un peu froide et impersonnelle? Je préfère l?ambiance du lobby et du bar tout proche. Nous sommes encore en zone internationale sur cet aéroport gigantesque, et la consommation d?alcool est autorisée pour les étrangers. Au comptoir, je commande un martini vodka. Au bar, je contraste avec l?uniforme des hommes d?affaires. Je suis perdu dans mes pensées quand des mains me cachent soudain les yeux?- Guess who it is ?J?att**** les fins poignets et écarte les mains - dans le reflet du miroir en face du comptoir, elle est là, dans sa tenue réglementaire d'hôtesse de l?air - Lucie.Accolade chaleureuse, pour le commun des mortels nous ne sommes que de très bons amis. - Heureuse de te retrouver ! (elle désigne mon verre) - Tu me commande la même chose ? Je viens de passer 2 heures à la douane pour une connerie, je suis fatiguée?Un signe au barman, et nous entamons une joyeuse conversation, comme si nous nous étions quittés quelques jours plus tôt. Je suis toujours jet-laggé mais très heureuse de revoir Lucie. Elle est toujours aussi belle et radieuse, et ce n?est pas à cause de son uniforme ! Après une heure de discussion, une martini vodka et un soft, il est temps pour nous de quitter le bar de l?hôtel. Lucie me glisse discrètement un bout de papier plié en deux.- N?attirons pas les foudres des traditionalistes dans cette salle? Mon numéro de chambre est sur ce bout de papier. Je pars en avance et tu veux bien payer les verres ? Je laisse ma porte entrouverte, ne tarde pas?Avec un sourire qui en dit long, elle s?éloigne vers les ascenseurs. Je passe au comptoir pour régler, bahis firmalarý (http://www.nebme.com/) et me dirige vers la deuxième rangée d?ascenseur. Un coup d?oeil rapide sur le numéro : 427. La porte est entrouverte, je me glisse à l?intérieur de cette chambre, pas tellement différente de la mienne - même décoration neutre et fonctionnelle, un tableau d?inspiration contemporaine au mur.J?entends la douche couler ; après de longues heures de vol et un souci à la douane, Lucie a besoin de se relaxer. Elle a laissé son uniforme sur une chaise près de la fenêtre, un long courrier décolle au loin, le triple vitrage ne laisse passer aucun son de ses réacteurs. Sur le bureau près de cette fenêtre, un post-it sur lequel est noté : Rejoins-moi !!!Je passe une tête dans la salle de bain. Lucie termine de se savonner - l?image peut paraître cliché, mais une jolie femme comme elle sous la douche fait de l?effet ! Je quitte mon jeans, ma chemise et mon boxer pour la rejoindre. Je la savonne, je bande immédiatement. Mes mains ne quittent pas ses seins et ses fesses. Elle se tourne en face de moi et me caresse elle aussi. D?abord mon torse puis mon sexe? Nous avions tellement envie de ce moment? J?embrasse Lucie alors qu?elle continue de me masturber. L?eau tombe toujours en pluie sur nous et le savon disparaît peu à peu. Elle met fin au baiser, se penche pour un doux baiser sur mon sexe, puis un début de fellation qui attise encore mon excitation. Mais Lucie ne fait que quelques va-et-vient sur mon membre, puis sort de la douche à l?italienne. Je laisse l?eau faire disparaître les dernières traces de savon, tandis qu?elle se sèche rapidement. J?ai à peine fini que Lucie repasse la porte de la salle de bain...Je me sèche très vite, enfile un peignoir pour passer du bon temps sur le lit.Je la rejoint sur le King Size, quelques gestes précis et mon peignoir est ouvert. Je bande à nouveau alors que Lucie approche ses lèvres, elle m'embouche et je ne peux refreindre un long soupir. C?est la première fois que ma maîtresse franco-égyptienne me suce et c?est divin. Je prend beaucoup de plaisir à voir sa bouche aller et venir et j?en profite pour ouvrir son peignoir. Je retrouve avec délice les petits seins ronds aux pointes déjà dardées, et je ne peux m'empêcher de les caresser.C?est ensuite à mon tour de lui donner du plaisir et nous en profitons pour quitter les peignoirs. Je demande à Lucie de venir positionner son sexe sur ma bouche. Elle se tient à la tête de lit tandis que je lui lèche ses lèvres intimes. Les mains sur ses fesses, je goûte son sexe avec avidité. Elle est très excitée et commence à gémir de plaisir. Ma langue explore son intimité et j?essaie d?être aussi appliqué que possible, kaçak bahis siteleri (http://www.nebme.com/) au moins à la hauteur de sa sublime pipe quelques minutes auparavant. Lucie finit par crier son plaisir en tremblant et en me donnant quelques gouttes de cyprine.J?enfile un préservatif et Lucie me chevauche. Je retrouve la délicieuse vision de mon hôtesse de l?air, sur moi lors de la partie fine à Sofia. Les sensations sont décuplées dans cette chambre d'hôtel : nous ne sommes que tous les deux, elle est véritablement ma maîtresse d?un soir. Lucie se laisse emporter par le rythme de l?ondulation sur moi. Je caresse ses seins, me relève parfois pour prendre les tétons en bouche. Elle me repousse pour garder le contrôle et se donner du plaisir sur moi. Son sexe toujours aussi étroit me donne beaucoup de sensations. Les mains sur ma poitrine, elle donne encore un peu plus de rythme, son bouton frottant sur les poils ras de mon pubis. Je remet mes mains sur ses petits seins gonflés par le désir, alors qu?elle rejette sa tête en arrière pour crier encore une fois son plaisir?Je retrouve le contact de sa poitrine contre moi quand elle revient pour m?embrasser et souffler au creux de mon épaule. Après quelques dizaines de secondes de pause et autant de caresses sur sa chute de reins, je la bascule sur le côté et me retire de sa petite chatte. Elle ressent un vide en elle et me demande : - Reprends-moi, comme tu veux, mais reprends-moi?J?ai à nouveau envie de voir les courbes de ses hanches et de ses fesses, comme lors de notre dernière rencontre. Je la place donc en levrette au bord du lit. Le temps de descendre, Lucie me lance ce regard qui me rend fou ! Regards échangés, et j?approche à nouveau mon sexe de ses lèvres intimes : une main sur le bas de son dos, une autre guidant mon sexe recouvert de latex, je m?introduis?Nous poussons à nouveau quelques gémissements de concert, heureux de ce nouveau contact intime. Quelques douces poussées plus tard, je suis entièrement en elle. Mes deux mains sur ses hanches, je m?active alors pour lui donner encore un autre orgasme lors de cette folle soirée. Lucie ponctue chacun de mes mouvements dans son fourreau par un Oui de plus en plus vif. Entendre ma petite hôtesse de l?air gémir ainsi me met au bord de la jouissance, je sens mon plaisir monter du fond de mon ventre. C?est le moment que je choisi pour accélérer la libération de nos deux corps, une de mes mains vient chercher un téton sensible. Mes mouvements en elle se font plus erratiques, Lucie est prise par son orgasme, je ne peux me retenir et je jouis, planté au fond de son intimité?Après ce bon moment, nous traînons un peu au lit, mais la fatigue nous ratt**** : le dernier vol international pour Lucie et une journée de travail dans une chaleur étouffante pour moi. Je décide de retrouver ma chambre? demain, Christina débarque à Dubaï et les retrouvailles seront sans doute tendres et sensuelles.A suivre...